Citoyens de l’UE : passeport ou carte nationale d’identité en cours de validité.
Citoyens hors UE : passeport valide et, dans la plupart des cas, visa de travail.
2. Permis de séjour (Permesso di soggiorno)
Obligatoire pour les ressortissants non européens souhaitant résider et travailler en Italie.
À demander à la Questura (commissariat de police) dans les 8 jours suivant l’arrivée.
Le type de permis dépend du motif du séjour (travail, études, regroupement familial, etc.).
3. Code fiscal (Codice Fiscale)
Équivalent au numéro d’identification fiscale.
Délivré par l’Agenzia delle Entrate (agence des impôts italienne).
Indispensable pour signer un contrat de travail, ouvrir un compte bancaire ou accéder aux services publics.
Peut être obtenu avec un passeport ou une carte d’identité.
4. Curriculum Vitae (CV)
Ce n’est pas un document légal, mais il est essentiel pour postuler.
En Italie, le format Europass est largement recommandé : clair, précis, et comprenant l’expérience professionnelle, la formation et les compétences.
5. Diplômes et certificats
Diplômes d’études, qualifications professionnelles et attestations de formation.
Dans certains cas, il est nécessaire de faire reconnaître officiellement les titres étrangers (riconoscimento titoli di studio).
6. Licences ou enregistrements professionnels
Pour les professions réglementées (santé, enseignement, ingénierie, etc.), des autorisations spécifiques ou une inscription à un ordre professionnel sont requises.
7. Autres documents utiles
Compte bancaire italien : nécessaire pour recevoir le salaire.
Assurance maladie : obligatoire pour les résidents, soit via le système public (Servizio Sanitario Nazionale), soit via une couverture privée.
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